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Burkina Faso
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Campement de l'Eléphant 2011
Séjour de chasse chez  Nahouri Safari

du 19 au 27 février 2011

22 heures, arrivée à Ouagadougou et, le temps des formalités douanières, départ pour le campement à 24 heures. Très bon véhicule mais, malheureusement, la chaussée est en cours de réfection si bien que nous rajouterons 2 heures au 2h30 habituellement nécessaires. Ce fut long mais nous avons roulé à la fraîche, si l’on peut dire. « Bonne arrivée » à 4h30 du matin, réception des cases, le personnel est toujours debout pour nous accueillir, chapeau Messieurs ! Levé 6 h pour une première petite partie de chasse aux francolins, matinée très difficile mais quand même quelques prélèvements. Tous les autres jours de chasse, nous taquinerons, inlassablement et pour notre plus grand plaisir, tourterelles, pigeons verts, lièvres, francolins, pintades et gangas.

Question chasse : Les pisteurs ont été désemparés dans la recherche des zones de chasse car leur chef, pour raisons de santé, a dû être hospitalisé. Nous avons dû chercher un peu nous-mêmes.

Quelques bonnes escapades dans la zone de grande chasse où nous avons pu admirer un bon nombre d’éléphants ainsi que diverses antilopes avec à la clef, d’excellents clichés !

Benjamin, le directeur du campement nous a réservé un formidable accueil, nous le remercions très vivement. Très bonne cuisine ! Le cuisinier n’est autre que celui qui a dirigé les fourneaux, pendant des années, chez Jean-Louis Roure.
Service excellent. Toujours très bonne ambiance dans le groupe.

Les semaines passent toujours trop vite quand on est en bonne compagnie…

Merci à tous et, en particulier, à nos hôtes qui se reconnaîtrons…


BS
Campement de l'Eléphant 2011
ZIGUEBERI 2010

C’est avec un immense plaisir que j’ai pu retourner au campement de Ziguebéri, à l’extrême nord-est du Burkina Faso, pour l’ouverture au gibier d’eau.
C’est le célèbre Jean Louis Roure qui, cette année, guide les chasseurs sur la concession du Béli appartenant à « Sahel Espace » retrouvant par là même ses anciens territoires.
Un accord a été trouvé entre les deux parties pour le plus grand bonheur des chasseurs.
Jean Louis continue, toutefois, à diriger le campement de Tinghassan dont il est l’heureux propriétaire et qui est situé à une heure de 4X4.
Mon dernier séjour en pays touareg remontait à 7 longues années, j’ai, néanmoins, retrouvé inchangé ce véritable petit château fort bâti au cœur des dunes. Le même charme, la même beauté, le même attrait. Douze chambres ventilées entourent un espace à ciel ouvert où l’on se réunit pour les joutes apéritives.
 
D’un strict point de vue cynégétique, les densités de becs plats furent à la hauteur de notre attente. Toutes les espèces étaient représentées, dendrocygnes bien sûr, mais aussi, oies de Gambie, oies d’Egypte, canards casqués et sarcelles. Cette année, le Sahel burkinabé a connu d’exceptionnelles précipitations, toutes les mares devraient rester en eau jusqu’à la prochaine saison humide. En plus des indispensables waders, le secret de la réussite passe, obligatoirement, par beaucoup de discrétion et un bon camouflage. Je l’ai vécu souvent mais je dois, une fois encore, avouer que le spectacle est impressionnant. Au premier coup de fusil signifiant le début des hostilités, des milliers d’oiseaux s’envolent, bruyamment, prennent de l’altitude, tournent autour du plan d’eau puis se reposent à nouveau dès que l’intensité du feu fléchit.
Deux demi-journées durant, nous retrouvâmes les pataugas pour une quête aux gibiers de terre. Une, me permit de prélever 9 pintades et, une autre, me donna l’occasion d’envoyer « ad patres » tourterelles et autres gangas.
La fin de saison (février à avril) devrait être plus riche en colombidés et les concentrations bien plus fortes.
 
« Sahel Espace » possède, également, la zone petit gibier de Nungu prés de Kaya. Toutefois, le campement étant devenu vétuste, un accord semble sur le point d’aboutir entre « Sahel Espace » et « Sounoogo Safari » pour accueillir à Kaya, les clients qui souhaiteraient un combiné gibier d’eau-gibier de terre.

Merci aux Biterrois Michel, Paul, Gérard, Thierry et Régis de m’avoir intégré dans leur groupe.

Le Burkina qui est encore méconnu par les amateurs de gibier d’eau, n’a absolument rien à envier aux autres pays qui font référence et pourra satisfaire les plus passionnés des sauvaginiers.

COOK, le 17 janvier 2011

Ziguebéri 2010
TINGHASSAN 2009
On finissait par ne plus y croire et pourtant …, malgré de nombreuses tracasseries administratives et à force de persévérance, le camp de Thingassan à Tin Akoff, dans le sahel, à l'extrême nord-est du Burkina, est enfin ouvert aux chasseurs.
Rendez-vous était donc pris chez Jean-Louis Roure du 04 au 11 décembre 2009 pour enfin, pouvoir chasser.
Il faut toujours 6 heures de trajet entre Ouagadougou et Tin Akoff. Le dernier tronçon, de Gorom Gorom au campement, s'améliore de jour en jour avec la construction d'une route qui devrait permettre de gagner une heure de transfert.
Le camp est construit au bord du Beli, un affluent du fleuve Niger, à quelques kilomètres du village de Tin Akoff. Il est composé de 12 cases. Tout est prévu, tout est voulu pour le bien être des clients.
Depuis l'année dernière, Jean-Louis améliore constamment le confort. Cette année, une très grande paillotte a été montée afin de pouvoir prendre l'apéritif à l’abri bien qu’à l’air. Des projets sont dans les cartons, notamment la construction d'un four à pain et, peut être un peu tard, la climatisation. Enfin, Jean-Louis peut compter sur le total dévouement de Jeanne qui s'occupe avec son équipe de l'entretien des chambres et de la qualité de la marmite.

La chasse

La zone de chasse permet d'alterner chasse au gibier d’eau et de terre. Le Beli qui se trouve à deux cents mètres du campement, ainsi que deux proches et belles mares permettent d'excellentes passées. Malheureusement, le manque d'eau cette année risque de compromettre sérieusement la réussite des passées pour les chasseurs qui vont arrivés en fin de saison. En revanche, d'impressionnantes densités de tourterelles et de gangas compenseront amplement le manque de gibier d'eau. De nombreux bas-fonds abritent pintades et francolins .La meilleure formule pour chasser ces oiseaux est de les localiser en véhicule au lever du jour avant qu'ils ne regagnent les abris. Enfin, j'ai eu l'occasion, au cours d'une matinée, de pouvoir chasser le phacochère à l'approche. Grâce à d'excellents pisteurs nous avons pu en débusquer cinq. Parmi eux, un beau boumac ne doit son salut qu'à ma maladresse.
Pour toutes ces chasses, Jean-Louis est allé rechercher deux excellents et réputés pisteurs Ousmane et Issaca qui sont vraiment des passionnés de chasse avec une excellente connaissance du terrain et des animaux. Le talent de Jean-Louis en tant qu’organisateur n'a pas changé et se résume ainsi : présence, maitrise, anticipation et satisfaction.

Je voulais aussi apporter un grand merci à Roland, mon compagnon de chasse pendant ce séjour, en particulier pour toutes les photos. Quelle leçon de courage et de volonté. En effet, Roland a relié, en marchant, la ville de Dori au campement en passant par Markoye en seulement 5 jours.

J'ai aimé :

Le vol direct Marseille-Ouagadougou
L'organisation sans faille de Jean-Louis
Le contact chaleureux avec les populations
Le bivouac sous le ciel rempli d’étoiles (mais sans les moustiques)
Les passées du soir
La bonne humeur de Jeanne (mais aussi sa choucroute aux ignames)
Le dévouement d’Ousmane et d’Issaca.

J'ai moins aimé :

Le transfert jusqu'au campement
La douche glacée le matin.

COOK
Tinghassan 2009
Campement de l'Eléphant 2008
NAHOURI SAFARI

« ATTENTION PINTADES »

LA CHASSE:
Je me suis rendu au camp de l'éléphant, début décembre 2008, dans des conditions particulières. La période pour chasser n'était pas la plus propice et, surtout, j'étais le seul chasseur du camp. Malgré ce handicap, ce séjour de chasse a tenu toutes ses promesses. Aidé par Dominique qui avait en charge l'organisation de la chasse et trois pisteurs, nous avons, au cours des cinq jours, obtenu des résultats plus qu’honorables. J’ai pu prélever entre cinq et dix oiseaux par sortie, essentiellement des francolins et des pintades. En outre, il y eut, malgré des conditions difficiles dues à mon isolement et aux herbes hautes, quelques lièvres au tableau. J'ai été, surtout, agréablement surpris, par les fortes populations de pintades. A chaque sortie, nous avons pu débusquer deux à trois très belles compagnies. Enfin, pour les tourterelles, les nombreuses mares aménagées autour du camp laissaient entrevoir et imaginer de fabuleuses passées pour les périodes plus tardives et, donc, plus favorables.
LA ZONE ET LE CAMP
Le camp de l'éléphant, propriété de Monsieur Bassono, est situé à deux heures et demie de Ouagadougou par une route goudronnée (prendre la direction de la ville de Po puis une demi-heure de bonne piste). Le camp se situe à l'entrée du parc de Nazinga. Cette zone villageoise entoure entièrement Nazinga avec l'obligation de traverser la réserve pour accéder à certains territoires et, souvent, l'heureuse surprise de croiser les éléphants et les grandes antilopes. Petit inconvénient : la réglementation interdit la circulation dans la réserve à partir de 18 H, les passées aux tourterelles sont, ainsi, quelquefois écourtées. Le camp de l'éléphant est récent, construit en pleine brousse, totalement isolé, en parfaite harmonie avec la nature. Le logement est confortable, les chambres climatisées sont spacieuses et dotées de tout le confort pour un camp de chasse. Tout est prévu pour le bien être du chasseur : piscine, coin bar, salon et restaurant joliment décorés.
IMPRESSIONS PERSONELLES
Le campement était tenu à l'époque par Michel, fortement handicapé, par des douleurs aux jambes. Malgré sa bonne volonté et son courage, il avait bien du mal à faire face aux problèmes d'intendance et de personnel. Il manquait un véritable patron. Quelqu’un qui soit passionné par la chasse, qui maitrise, parfaitement, le territoire et qui soit un meneur d’hommes avec une autorité que seules confèrent la connaissance et l’expérience. Le personnel est extrêmement dévoué, attentif, serviable et ne demande qu’à aider et à apprendre. Le ranch de Nazinga et le camp de l'éléphant sont distants d'à peine une dizaine de kms. Une collaboration entre les deux camps pourrait permettre d'aller tirer une antilope ou un phacochère au cours d’un séjour petite chasse et, réciproquement, les clients de grande chasse pourraient varier leur séjour avec le petit gibier.
CONCLUSION
Nahouri Safari avec le camp de l'éléphant dispose de tous les atouts pour devenir une des références du Burkina Faso pour la chasse au petit gibier ou les séjours mixtes:
cadre agréable,
camp confortable,
densité de gibier importante,
proximité de Nazinga,
véhicules confortables,
faible pression de chasse,
accès rapide depuis Ouagadougou.
Un patron enthousiaste, expérimenté, présent et accompagnant serait le bienvenu à la tête de ce camp et la possibilité d'un combiné avec Nazinga comblerait les futurs clients. A ces conditions, l’endroit deviendrait, vite et durablement, un parangon de séjour de chasse.

COOK, le 14 juin 2009.
Campement de l'Eléphant 2008
TINGHASSAN 2008

Début décembre, j’ai eu l’opportunité, à l’occasion d’une visite éclair dans l’extrême nord du Burkina Faso, de découvrir, dans le Sahel, un campement de chasse tout neuf. Il appartient à Jean-Louis Roure, dont la réputation en tant qu’organisateur et guide de chasse n’est plus à faire et dont on attend, avec beaucoup d’impatience et beaucoup d’espoir mais sans réelle inquiétude, les démonstrations et les preuves en tant que propriétaire.
On rejoint le campement de Thingassan après 6 heures de route, au départ de Ouagadougou : 3 heures 30 de route goudronnée jusqu’à Dori, 1 heure de bonne piste pour Gorom Gorom et enfin 1 heure 30 de piste un plus difficile jusqu’au village de Tinakof. Le camp se trouve à 5 km de la petite bourgade et à 300 m du Béli ; sur l’autre rive du fleuve, on pénètre au Mali.
Douze cases de style sahélien, confortables et ventilées ; un bâtiment central abritant la cuisine et une grande salle à manger ; à l’extérieur, en cours d’aménagement, un endroit ombragé, destiné à accueillir les chasseurs et leurs nécessaires autant que salutaires moments de convivialité.

A notre arrivée, entre chien et loup, nous avons croisé quelques compagnies de pintades ainsi que de nombreux francolins dont nous avons perturbé l’habituelle quiétude, ce territoire n’ayant subi aucune pression de chasse depuis de nombreux mois.
La soirée me laissera un chaleureux et nostalgique souvenir, un merveilleux repas clôturé par l’incontournable et traditionnelle cérémonie du thé, une ambiance intime et amicale et un service autant discret qu’efficace (Merci à Ousmane, Issaca et Madras).
Le lendemain, aux premières lueurs du jour, à moins de 15 minutes du camp et à portée de fusil, nous découvrîmes des dendrocygnes, des sarcelles, des canards casqués en abondance.

Dans quelques mois, les chasseurs exigeants, les habitués, les fidèles et les nouveaux venus pourront trouver chez et par Jean-Louis tout ce dont ils ont rêvé et le meilleur de ce qu’ils peuvent attendre d’un séjour de chasse au Burkina Faso, à savoir organisation sans faille, accueil chaleureux, variété et diversité de gibiers.

En outre, ne manquez pas l’occasion de passer une soirée inoubliable au restaurant-spectacle « Le Gigot à la ficelle » à Ouagadougou dont la propriétaire n’est autre que Madame Jean-Louis Roure dite Armelle pour les intimes.

Salut, Patron !

Cook

http://chasseburkina.skyrock.com/;
http://legigotalaficelle.skyrock.com/
Tinghassan 2008
Campement de la Sirba 2007
Safari du Gourma

Le 22 mars 2007 : Arrivé du vol AF 732. Enfin revoilà Ouaga, la chaleur est toujours suffocante malgré la tombée de la nuit. Nous passons les contrôles sanitaires et de police rapidement, les bagages et les armes sont récupérés, rien ne manque. Nous retrouvons Jean Louis qui sera notre guide pendant la durée du séjour. Pour éviter les trajets de nuit toujours dangereux, nous passons notre première nuit dans la capitale. Nous nous installons à l'hôtel « OK INN », une douche suivie d'un bon repas, un dernier verre au Calypso (l’endroit incontournable de Ouaga) et enfin dodo.
Le lendemain matin, après un réveil difficile les choses sérieuses peuvent commencer. Direction Fada n Gourma, chez Stéphane Binoist au campement du Gourma. Après deux heures et demie de bonne route, nous arrivons à destination; je suis déçu, le campement se trouve à l'entrée de la ville, le long d'une route assez fréquentée même si le bruit de la circulation ne sera jamais gênant pendant notre séjour. Heureusement le moral reste intact. Le campement est divisé en deux parties d'une dizaine de bungalows accolés les uns aux autres et séparés par le bar et la salle à manger. Les chambres sont confortables, spacieuses, climatisées, l'ameublement reste simple.
Jean Louis nous propose après la sieste d'aller débusquer les francolins; après un quart d'heure de 4x4, nous sommes déjà dans la zone de chasse. Il fait très chaud et l'organisme est mis à rude épreuve; déjà les premiers oiseaux s'envolent, les coups partent avec plus ou moins de réussite mais qu'importe, le gibier est bien présent et en abondance. Cette première après-midi s'avère assez fournie et chacun revient avec un tableau d'une dizaine de pièces composé essentiellement de francolins et de lièvres.
Stéphane qui doit nous quitter le lendemain pour aller au salon de Rambouillet nous propose une passée aux tourterelles afin de montrer des photos sur son stand. La passée se fera à la sortie de la ville et il nous conseille de prendre le carton de cartouches. Levés six heures pour un départ trente minutes plus tard, nous arrivons aussitôt autour de la mare ou déjà de nombreux oiseaux passent au-dessus de nos têtes. Je choisi un espace au milieu d'un grand bosquet; début du festival non-stop pendant deux heures, sans répit. La passée sera fabuleuse, avec 126 oiseaux au tapis. Le lendemain et les jours qui suivront seront menés sur le même rythme et avec la même réussite; notre séjour chasse serra entrecoupé d'une sortie au phacochère au camp du Singou. Cette journée nous permettra d'observer les grands animaux.
Nous sommes partis cinq chasseurs, dont quatre avec une bonne expérience petit gibier dans différents camps du Burkina, le campement du Gourma restera un de nos plus beaux souvenirs. Nous y sommes allés à la fin du mois de mars, cette période est bien sûr la plus éprouvante mais aussi la plus propice pour la chasse, le gibier restant concentré.
LES PLUS :
- Densité importante de tourterelles, gangas francolins et lièvre,
- Deux heures et demi de transfert de Ouaga à Fada sur une bonne route,
- Accès rapide du camp aux différentes zones de chasse,
- Possibilité de jumeler petite et grande chasse.
LES MOINS :
- L'environnement du campement près de Fada,
- Le manque de diversité du gibier.

COOK, le 02/08/2008
Campement de la Sirba 2007
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